Paris
Paris, Paris, mon amour, je t'attends avec impatience. Vivre enfin,
fermer la parenthèse de cette existence en balbutiements, le vide
parsemé d'éclats pour me rappeler que j'aspire à mieux que les rues
désertes. Sa bouche sur ma nuque dans les rues folles, l'impression
d'être toujours un peu légèrement ivre, à vivre trop vite, à sentir
trop fort, à hurler pour de vrai et pas dans l'oreiller.
à 03:16