Pif paf pouf.
C'est drôle, comme à partir de maintenant les choses s'envisagent différemment. Plus d'absence lancinante, juste l'euphorie de l'attente. Partir pour mieux revenir, dans peu de temps, les échéances se rapprochent, tout s'accélère et j'ai enfin l'impression de mettre le pied dans une vie que j'attendais depuis des lustres.
Me claquer les étoiles dans la tête, pour le meilleur et pour le pire, avaler toutes les lumières de Paris. Je vais pouvoir m'emplir de ta présence, toute le temps, me noyer dans la foule parisienne pour te rejoindre. C'est le paradis à portée de main, ces prochains mois qui s'annoncent.
Alors non, je ne suis pas triste aujourd'hui. Je pense à à tout ce que j'ai à faire avant de m'offrir la plus belle vis-le du monde. Et je me dis que je n'aurais jamais assez de temps et ça m'excite.